Cette rencontre de prise de contact a permis d’échanger sur des sujets d’intérêt commun en lien avec les agendas respectifs des deux institutions ainsi que sur les perspectives de collaboration, dans une dynamique renouvelée de coopération régionale au service de la stabilité, du développement durable et de la résilience du Sahel.
Dans le cadre de ses engagements en faveur de l’inclusion et de la résilience climatique, le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), Son Excellence Monsieur Issifi Boureima, a rencontré ce mardi 20 mai 2025 Madame Seyni Yayé Maimouna, Représentante par intérim d’ONU Femmes au Niger. Cette rencontre de prise de contact a permis d’explorer les perspectives de collaboration de partenariat entre la CCRS et ONU Femmes.
Le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), SEM. Issifi Boureima a été reçu ce jeudi 15 mai 2025 par Son Excellence M. Moses Vilakati, Commissaire à l’Agriculture, au Développement Rural, à l’Économie Bleue et à l’Environnement Durable (ARBE) de la Commission de l’Union Africaine, au siège de l’institution à Addis-Abeba, en Éthiopie. Cette rencontre de prise de contact a été l’occasion pour SEM. Issifi Boureima d’adresser à Son Excellence ses chaleureuses félicitations pour sa brillante élection à la tête du Département ARBE. Il a salué un parcours professionnel riche, marqué par des expériences pertinentes et un engagement constant en faveur de la résilience et du développement durable des communautés africaines, autant d’atouts essentiels pour la réussite de cette noble mission continentale. L’entretien a permis aux deux parties de discuter des synergies possibles entre les priorités climatiques de la CCRS et les axes stratégiques portés par le Département ARBE. À cet égard, SEM. Moses Vilakati a salué les efforts déjà engagés par la CCRS depuis la mise en place de son Secrétariat Exécutif notamment, en ce qui concerne la mise en œuvre de projets structurants et le plaidoyer pour une action coordonnée au niveau régional. Le Commissaire s’est également déclaré pleinement disposé à œuvrer pour une collaboration renforcée entre les deux institutions, en identifiant des actions concrètes et concertées dans des domaines clés tels que la sécurité alimentaire, la restauration des terres dégradées et la mobilisation des financements climatiques pour la région du Sahel. La rencontre s’est tenue dans un climat constructif et engagé, illustrant une volonté partagée de consolider les liens entre la CCRS et la Commission de l’Union Africaine au service d’un développement durable inclusif et d’une adaptation climatique efficace sur le continent. SEM. Issifi Boureima a exprimé ses remerciements à Son Excellence le Commissaire pour la qualité des échanges ainsi qu’à l’ensemble de l’équipe du Département ARBE pour l’accueil chaleureux et l’organisation de cette rencontre.
En marge de sa participation à la réunion d’engagement des experts et partenaires de l’Initiative de la Grande Muraille Verte tenue ce mardi 13 mai 2025 au siège de l’Union Africaine à Addis-Abeba, le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS) Son Excellence Monsieur Issifi Boureima a eu l’honneur de tenir plusieurs rencontres bilatérales avec : Ces échanges ont porté sur l’agenda la coopération régionale et internationale tant bilatérale et multilatérale autour des priorités et axes prioritaires suivants : Ces rencontres ont permis de réaffirmer l’importance d’une approche intégrée, inclusive et orientée des actions cohérentes aux différentes priorités de résilience et stabilisation de la région du Sahel. SEM. Issifi Boureima a par ailleurs rencontré les représentants de la société civile nigérienne et du secteur privé également présents à cette importante rencontre. Il a ainsi échangé avec : Ces échanges se sont déroulés en présence de : Ces moments d’échange ont été l’occasion de saluer l’engagement de la société civile et du secteur privé nigérien dans la dynamique régionale de résilience climatique et du développement durable.
Excellences et Honorables participants, Chers Experts des Organisations Etatiques et de la Société Civile des pays membres de l’UA, Mesdames et Messieurs les représentants des organisations partenaires, Mesdames et Messieurs, C’est avec un immense honneur et un réel plaisir que je prends la parole à l’ouverture de cette rencontre dédiée à une cause qui nous est chère à toutes et à tous à savoir la restauration des terres et le renforcement de la résilience des communautés africaines face aux défis climatiques. Je voudrais tout d’abord adresser mes sincères remerciements au Département Agriculture, Développement rural, Économie bleue et Environnement durable (ARBE) de la Commission de l’Union Africaine, tant pour l’initiative de cette rencontre que pour l’invitation qui nous est adressée. En Effet, cette réunion qui illustre une fois de plus l’engagement de la Commission de l’Union Africaine à travers son département ARBE se tient dans un contexte marqué par la multiplication des défis climatiques et leurs corollaires. Ces défis aggravés par des nouvelles crises émergentes, compromettent malheureusement les efforts déployés par nos États en particulier ceux du Sahel pour renforcer l’adaptation et la résilience de leurs communautés ainsi que de leurs moyens de subsistance. Pourtant des initiatives ambitieuses existent à l’image de la Grande Muraille Verte qui représente un programme panafricain structurant intégrant des actions cohérentes et adaptées de résilience et de restauration des écosystèmes. Néanmoins, force est de constater que la mise en œuvre de cette initiative reste limitée, essentiellement en raison de la faible mobilisation des ressources financières et ce malgré les nombreux engagements politiques et annonces de soutien. Face à cette situation devrions nous, nous réjouir de l’adoption d’un nouveau Cadre stratégique décennal 2024–2034 visant à renforcer l’élan de la mise en œuvre de cette initiative. Il est toutefois important de souligner que les objectifs décliner dans ce nouveau cadre ne pourra être atteint sans un véritable sursaut collectif pour lever les goulots d’étranglement liés au financement. Cela est d’autant plus préoccupant dans un contexte où l’agenda multilatéral et même bilatéral montre des signes de recul préoccupants. Dès lors, il est plus que jamais nécessaire de renforcer la synergie, la cohérence et l’efficacité des interventions pour éviter que des initiatives cruciales comme la Grande Muraille Verte ne soient davantage fragilisées. C’est dans cette dynamique que la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS) que j’ai l’honneur de diriger, place au cœur de son agenda stratégique l’initiative de la Grande Muraille Verte dont les actions sont portées par le Plan d’Investissement Climat pour la Région du Sahel (PIC-RS) que nos pays se sont dotés dans le cadre de l’opérationnalisation de notre Commission. La CCRS continue d’accorder ainsi une attention particulière à cette initiative qu’elle porte avec détermination dans son agenda de plaidoyer auprès de ses pays membres et les partenaires du Sahel. En effet, cette vision de la CCRS se justifie par le fait qu’elle considère la Grande Muraille Verte suivant les priorités de ses pays membres comme un levier essentiel de restauration écologique, de développement durable, de stabilité et de sécurité humaine notamment, pour la région du Sahel. Mesdames et Messieurs, Le Sahel, qui est au cœur de cette initiative incarne à la fois la fragilité et le potentiel de notre continent. Cette région fait face à de nombreux défis : dégradation des terres, désertification, insécurité alimentaire, déplacements forcés et tensions sociales. Pourtant, elle regorge également des solutions endogènes de résilience communautaire et d’un engagement local remarquable, autant de richesses que l’Initiative de la Grande Muraille Verte se doit de valoriser pleinement. N’es pa là une raison qui pourrai justifier l’attention particulière qu’accorde la CCRS au nom des pays de la région du Sahel à la présente réunion qui vise notamment à : Mesdames, Messieurs, Pour relever ces défis, nous devons impérativement changer d’échelle, de méthode et d’ambition. Il nous faut une collaboration réellement intégrée, multisectorielle, fondée sur les principes d’alignement, de transparence et de redevabilité. Les financements doivent être facilités, les innovations partagées, et les voix des communautés pleinement entendues. C’est dans cette dynamique que la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), pleinement engagée à contribuer activement à la mise en œuvre d’actions de résilience et d’adaptation a organisé du 22 au 23 avril 2025 à Niamey au Niger, une rencontre régionale sur le suivi de l’opérationnalisation des instruments et mécanismes de financement de la résilience et de la stabilisation dans la région du Sahel. Cette réunion a offert un cadre de dialogue approfondi sur le défi crucial du financement de la résilience et du développement durable au Sahel, à travers une analyse collective des forces et faiblesses des mécanismes régionaux et sous-régionaux mis en place par les États, via différentes institutions. La CCRS s’est réjouie ainsi de la mission qui lui a été confiée de porter les conclusions de cette rencontre auprès de tous les acteurs de l’agenda de la résilience et de l’adaptation du Sahel. Je saisis à cet égard, cette occasion pour lancer un appel aux partenaires ici présents en faveur d’un engagement renforcé dans la mobilisation des ressources. Je me permets également de renouveler avec insistance, notre appel à la Commission de l’Union Africaine pour un engagement accru en faveur de l’opérationnalisation effective de la CCRS tel que recommandé par la Deuxième Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la Commission. Toujours dans cette dynamique, la CCRS a accueilli du 14 au 19 avril 2025, une mission technique de la Banque Africaine de Développement (BAD). Cette mission s’inscrit dans le cadre de la préparation du Projet d’Appui à la Résilience et à l’Adaptation aux Changements Climatiques des Communautés et des Écosystèmes des Bassins Hydrographiques du Sahel (Projet RACE-SAHEL). Aligné sur les priorités nationales, régionales ainsi que sur les objectifs de l’Initiative de la Grande Muraille Verte, ce projet vise à renforcer la résilience climatique dans quatre pays membres de la CCRS : le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal. Par ailleurs, la CCRS a élaboré trois notes conceptuelles conformes aux standards du Fonds Vert
Le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), SEM. Issifi Boureima, entreprend ce dimanche 11 mai 2025 une visite officielle à Addis-Abeba, en Éthiopie au siège de l’Union Africaine. Il prendra part au segment d’ouverture de la réunion d’engagement des experts et partenaires de l’Initiative de la Grande Muraille Verte, où il est attendu au rang des invités de marque. À cette occasion, il prononcera une allocution mettant en lumière les priorités climatiques de la région du Sahel et les synergies possibles avec cette initiative continentale. Plusieurs rencontres bilatérales de haut niveau figurent également à son agenda au cours de ce déplacement stratégique. Le Secrétaire Exécutif est accompagné par M. Idrissa Mahamadou Soumana, Spécialiste de Programmes, et M. Sadou Alize Mouktar, Chargé de Communication Multimédia qui représenteront la CCRS aux travaux de la réunion.
Le mardi 6 mai 2025, le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), Son Excellence Monsieur Issifi Boureima a tenu une rencontre virtuelle avec M. Joseph N. Nganga organisateur du premier Sommet Africain sur le Climat, ainsi que son équipe. Faisant suite à la réunion du 25 avril dernier, cette rencontre a offert à la CCRS l’occasion de présenter son mandat, ses secteurs d’intervention prioritaires et les principales cibles de son agenda régional pour la résilience et l’adaptation climatique. Les échanges ont permis d’aborder les enjeux stratégiques du Sommet pour la région du Sahel, en mettant l’accent sur trois priorités essentielles : • La reconnaissance politique claire du Sahel comme zone prioritaire d’intervention climatique au niveau continental ; • Le renforcement de l’accès aux financements climatiques pour les États et communautés sahéliennes, via les mécanismes de la finance verte, du crédit carbone et des fonds multilatéraux ; • L’appui à l’opérationnalisation de projets climatiques régionaux structurants. En tant qu’instrument stratégique de coopération régionale, de diplomatie climatique et de développement durable, la CCRS a réaffirmé son engagement à contribuer activement à la réussite du Sommet considéré comme une étape majeure pour l’agenda climatique africain. Dans cette perspective, la Commission a exprimé sa volonté de participer pleinement à l’organisation de l’édition 2025, en qualité de commission régionale afin de porter la voix du Sahel et d’assurer une meilleure prise en compte des priorités climatiques sahéliennes. Elle a également proposé l’organisation, en marge du Sommet d’une « Journée Sahel » ou d’un événement parallèle de haut niveau, dédié à la valorisation des initiatives sahéliennes en matière d’adaptation, de restauration des écosystèmes, de gestion durable de l’eau, de finance climatique et d’accès aux marchés carbone. Le Secrétaire Exécutif a salué l’engagement fort manifesté par les organisateurs du Sommet en faveur de l’intégration des priorités du Sahel dans les thématiques retenues ainsi que leur volonté affirmée de renforcer la collaboration avec la CCRS. Il a enfin adressé ses remerciements à M. Joseph N. Nganga et à son équipe pour la qualité des échanges et leur disponibilité constante dans le cadre de ce processus mobilisateur.
La Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS) organise une rencontre régionale thématique dédiée au suivi de l’opérationnalisation des instruments et mécanismes de financement de la résilience et de la stabilisation dans la région du Sahel. Face aux défis climatiques et à leurs corollaires notamment la sécheresse, la désertification, ainsi que les crises alimentaires et sociales auxquels la région du Sahel est confrontée, cette rencontre ambitionne de favoriser un dialogue constructif entre les experts des organisations sous-régionales et régionales sur un des goulots d’étranglement majeurs qui impacte l’efficacité des réponses à ces phénomènes à savoir, la mobilisation des ressources adéquates pour leur prise en charge. Cette rencontre devrait ainsi permettre d’examiner les processus d’opérationnalisation des instruments financiers existants, d’identifier des mécanismes de coordination cohérents entre les institutions et d’élaborer un plan d’action concret en vue de faciliter l’accès aux financements. L’événement verra la participation des représentants de plusieurs organisations notamment, le Comité inter-État de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), l’Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte (APGMV), l’Autorité du Bassin du fleuve Niger (ABN), la Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT), l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS). La participation des experts des partenaires techniques et financiers tels que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et le Programme Alimentaire Mondial (PAM) est aussi prévue afin d’apporter leur expertise et leur expérience en matière de mobilisation et de gestion des ressources au Sahel. Au cours des travaux qui dureront deux jours, les participants se pencheront spécifiquement sur les objectifs suivants : l’examen des processus d’opérationnalisation des instruments et mécanismes financiers existants. L’identification de mécanismes de synergie et de coordination entre les institutions concernées. L’élaboration d’un plan d’actions d’appui à l’opérationnalisation des mécanismes financiers. La définition d’une feuille de route conjointe pour assurer le suivi des recommandations issues de la rencontre. À travers cette rencontre, la CCRS sous le leadership de SEM. Issifi Boureima, réaffirme sa volonté soutenue, conformément à son mandat en parfaite relation avec toutes les parties, de renforcer la dynamique de la coopération régionale notamment en matière de mobilisation des ressources nécessaires à la résilience et à la pacification du Sahel.
Le Secrétaire Exécutif de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), S.E.M. Issifi Boureima, a reçu ce lundi 14 avril 2025 Monsieur Mamadou DIALLO, Chargé Supérieur de l’Agriculture et du Développement Rural à la Banque Africaine de Développement, ainsi que son collègue Monsieur Biry DIAGANA, Expert en Fragilité et Résilience (RDTS). Ces experts de la BAD sont en mission technique auprès de la Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS), dans le cadre du Projet d’appui à la résilience et à l’adaptation aux changements climatiques des communautés et des écosystèmes des bassins hydrographiques du Sahel (Projet RACE-SAHEL), projet dont M. Diallo est le Task Manager. L’occasion a été donnée au Secrétaire Exécutif de la CCRS de leur adresser ses vœux de bienvenue et de leur réitérer la pleine et parfaite disponibilité de la CCRS à accompagner le bon déroulement de leur mission. S.E.M. Issifi Boureima s’est réjoui particulièrement de l’engagement constant et de l’esprit de collaboration manifestés par les partenaires de la BAD, qui ont exprimé leur grande satisfaction quant au cadre de coopération établi avec l’équipe de la CCRS, avec laquelle ils ont d’ailleurs entamé les travaux, en lien avec les représentants des pays participant en virtuel.
La Commission Climat pour la Région du Sahel (CCRS) a l’honneur d’accueillir du 14 au 19 avril 2025, une mission technique de la Banque Africaine de Développement (BAD) dans le cadre de la préparation du Projet d’Appui à la Résilience et à l’Adaptation aux changements climatiques des Communautés et des Écosystèmes des bassins hydrographiques du Sahel (Projet RACE-SAHEL). Ce projet d’un montant de 15 millions de dollars américains vise à renforcer la résilience et les capacités d’adaptation des communautés et des écosystèmes dans quatre pays membres de la CCRS : le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal. Le Projet Race Sahel, cohérent aux priorités régionales et nationales et dont le financement devrait être approuvé prochainement par le Conseil d’Administration de la BAD, illustre une fois de plus l’engagement fort et constant de la Banque en faveur de la résilience et développement durable du Sahel. Elle marque également une nouvelle étape dans la coopération dynamique et fructueuse entre la BAD et la CCRS. La CCRS salue l’engagement et l’attachement de ses pays membres en faveur de l’affirmation d’une volonté commune pour la promotion des solutions concrètes et durables en réponse aux défis climatiques et leurs corollaires au Sahel.
La CCRS est une concrétisation de la volonté des Chefs d’Etat et de gouvernement africain pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le changement climatique.
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